Du vêtement enfant bio, oui mais made in France !

On recherche toujours ce qu’il y a de mieux pour nos enfants, aussi bien sur les sites pour enfants que sur les portails d’information destinés aux parents.

Aujourd’hui, quand on habille nos petits, les vêtements sont fabriqués à l’étranger, dans des pays du tiers monde, parfois dans des conditions de travail inadmissibles à notre époque.

Résultat : manque sérieux de qualité, pollution, récession de l’industrie de nos pays etc..

Pour ne pas noircir le tableau, parlons plutôt de ce qui existe et permet d’éviter tout ceci

Depuis peu, un grand mouvement de fond a fait son apparition, et notamment dans la mode enfant : les vêtements bio ! C’est une avancée certaine dans la consommation puisque cette fois, c’est une consommation responsable et qui ne fait pas payer à la planète le prix de nos habitudes. En effet, le coton est biologique, donc pas de pesticides, d’engrais chimiques et autres fongicides à outrance ! La terre est préservée, mais également les familles entières qui travaillent à ces récoltes et que l’on oublie trop souvent.

D’autre part, on trouve maintenant un courant qui s’adjoint à ce premier courant de vetement enfant bio : les vêtements fabriqués en France !

C’est un courant de fond qui s’est amorcé tout doucement il y a quelques années, et dont les premiers pionniers ont établi les premières bases en ouvrant leur boutique en ligne.

On peut retrouver des sociétés telles que la marque Alphonse, lancée il y a peu et qui relève le défi de fabriquer des vêtements pour bébé, des vêtements pour enfant et des articles pour la nuit, tous fabriqués en France !

Le résultat : des vêtements de très haute qualité (teinture, sérigraphies et assemblage), une pollution réduite au maximum (teintures respectueuses des normes Oeko-Tex et encres à l’eau non polluantes), et du vêtement enfant tout doux car tout bio !

Le pari est de taille, mais le jeu en vaut la chandelle car en ne délocalisant pas la fabrication des habits, la pollution générée est bien moindre comparée à une fabrication en Inde ou au Bengladesh.

D’autre part, le droit du travail est respecté et les opérateurs qui ont travaillé sur ces vêtements sont rémunérés selon les dispositions du code du travail et des différentes conventions collectives. C’est une sorte de commerce équitable mais à dimension locale.

Tout ce qu’on espère, c’est que l’exemple d’Alphonse inspirera d’autres sociétés et permettra de relancer l’économie et l’industrie en France, pilier de la bonne marche économique du pays.

Alors Fonce, Alphonse !